Message à l’attention des personnels BIATSS de l’ENSCCF et de l’IFMA
Par snptes63 le dimanche 1 juin 2014, 11:58 - Lien permanent
Cher(e) collègue,
La Directrice de l’ENSCCF et le Directeur de l’IFMA viennent de rencontrer conjointement les syndicats représentés au CT de leurs établissements. Ils nous ont convoqués pour nous présenter le projet de fusion des 2 écoles d’ingénieur à l’horizon du 1er janvier 2016. Cette convocation s’inscrit dans une large démarche de dialogue social en mai-juin 2014 (consultation des syndicats, des élus des CT des 2 établissements et enfin vote dans les CA).
La fusion en janvier 2016, entrainera, vers l’automne 2015, des élections par la création d’un Comité Technique (CT) unique, par la création de Commissions Paritaires d’établissement (CPE) (groupe 1 pour les ITRF et groupe 2 pour l’AENES). Il faut savoir qu’il n’y a pas de CPE actuellement à l’ENSCCF. Un CHSCT unique sera également créé.
Lors de la réunion de ce matin, j’ai parlé d’action sociale et de régimes indemnitaires. Il faudra créer un service d’action sociale et prévoir une nouvelle politique indemnitaire. Ce sera aux élus des CT d’en discuter, mais j’ai rappelé que le SNPTES revendique le taux moyen interministériel (le fameux taux 5 qui doit être le régime indemnitaire de base versé mensuellement à tous).
Les personnels de l’ENSCCF, notamment, sont loin du taux moyen interministériel, même avec quelques reliquats de fin d’année (mais il est vrai qu’ils travaillent dans un établissement non RCE). Les personnels de l’IFMA avec des régimes indemnitaires mensuels maintenus bas, notamment pour les ITRF, pour constituer une enveloppe de reliquat en fin d’année, sont pour certains peut-être au taux 5 (voire plus), mais ces reliquats sont versés suivant la manière de servir et donc variables d’une année sur l’autre. Le SNPTES est totalement opposé à ces pratiques, car cela génère des conflits au sein des personnels, source de démotivation et d’individualisme.
Je reste à votre disposition afin de répondre à vos éventuelles questions.
Bien cordialement,
Jean-Philippe DESIRONT